Monsieur BMW, le système de béquillage est vraiment stupide !

Pas pratique, parce que l'on s'emmèle dans les manettes, instable dans les pentes, et très fragile, ce système a certainement été conçu par un fou !

D'ailleurs, quand on a un pneu à plat, il n'y a plus moyen de béquiller le C1 sans tout casser !

Plus exactement, BMW a prévu une petite pièce en plastique blanc qui, je crois, est destinée à casser en premier en cas d'effort excessif. Le problème est qu'elle est très difficile à remplacer ! Il aurait mieux valu concevoir un système du genre disjoncteur (à réarmer) plutôt que fusible (à remplacer).
En tout cas, je manoeuvre maintenant la béquille avec le pied, et je me demande pourquoi cette solution n'a pas été étudiée plus à fond ...

Mais ce n'est pas tout !
Il arrive souvent que la manette servant à baisser la roue reste coincée ! Plus moyen de relever la béquille !
Pour ne pas avoir à rentrer en métro, il suffit d'appuyer avec le doigt sur la pièce en plastique blanc (voir photo).
Personnellement cette aventure m'est arrivée la première fois dans le noir et j'ai mis du temps pour trouver la solution. J'espère que ce truc vous servira si'il vous arrive la même mésaventure ...

La crevaison est aussi une aventure qu'il vaut mieux éviter, parce que, outre l'impossibilité de béquiller, la roue arrière est très dure à démonter : il faut soulever le C1, démonter le pot d'échappement et l'amortisseur, pour sortir la roue.

Certains C1 ont une tendance à caler au ralenti, surtout les 125 mais les 200 ne sont pas épargnés. Ce problème se résoud généralement par une reprogrammation de l'électronique.

La batterie doit toujours être parfaitement chargée, sinon elle n'arrive pas à faire démarrer le C1. Le démarreur tourne, mais la pompe à injection n'arrive pas à injecter correctement le carburant.
Ce n'est pas vraiment une panne : il suffit de raccorder la batterie à celle d'une voiture avec des cordons de démarrage, pour repartir sans problème.

A part ça, tout va bien.